• Sur les pas du futur

    Bonjour bonsoir tout le monde! Voici notre toute première fiction de groupe. Tout conseils, critiques constructives et avis sont les bienvenus.  Si vous ne comprenez pas très bien l'histoire, veuillez demandez en commentaire de vous faire un résumé. Bonne lecture. 

  • Une fois de plus je n’ai quasiment pas fermé les yeux de la nuit, levée à quatre heure du matin, pas moyen de se rendormir, je m’appelle Lucile, quatorze ans et je vais a un collège pourri qui s’appelle Weterfinld, je n’attends qu’une chose, pouvoir sortir de là et devenir créatrice de manga. Pour moi, ça serais le rêve, fermant doucement mon carnet contenant toutes mes créations, je descends vers la salle de bain, j’ai finis par me faire à cette solitude après tous sa fais presque un ans que je vis seul enfin presque ma mère est morte et mon père est mon père est devenus un alcoolique après sa bref il ne rentre presque jamais et en peut pas dire qu'en se parle.
    Une demie-heure plus tard, j’arrive finalement au collège, je n’ai pas vraiment d’amies et je m’en plaint pas, je trouve que c’est plutôt une bénédiction, après tous, tout le monde te trahis tôt ou tard, c’est inévitable, elles disent être tes amies, ils disent t'aimer et ils finissent tous par t’abandonnée, du jour au lendemain ils ne te parlent plus. Je suis arrivé dans ce collège il y'a environt cinq mois, et j’ai déjà une réputation de fer, oui après tous la seule fille qui à pris un abonnement chez la principale, on peut pas dire qu’on me considère comme l’élève parfaite, pour eux je suis la rebelle qu’il ne faut absolument pas approchée je me souviens quand je suis arrivée la première personne que j’ai croisée a eu le droit à une bonne petite insulte et un coup de point pour la prime comment il s’appellait déjà? Zi? Non… Ah oui Zack, cette abrutit de dragueur, il se croit être un roi avec sa bonde de mauviette, mais en fait, je dirais plus que c’est le roi des cons, tient, ça me rappellent un chanson que j’adore « je suis un homme », je pose mes affaires, et me mets sur ma table, coté fenêtre, mes écouteurs dans les oreilles, j’ai mis de la musique et laissa mon esprit vagabondé avec la chanson:

    chapitre 2: Lucile, ma 20 em oeuvreAprès le retour du prof, j’ai remarqué qu’une nouvelle s’est présenté Luna je crois, en fait je n’ai pas vraiment prêter attention à elle, mais je croit bien qu’elle était énervée, enfin bon, il es midi je me lève et part en direction de la cafète, durent l’allée je me retrouve face à une bande d’idiot, quand on parle du loup, voici Zack devant moi, tient il se fais passé un savon par le dirlo, un grand sourire apparait sur mon visage, je m’arrête à coté pour attendre qu’il parte et dit : « et bien qu’est-ce-que t’as encore fait? Laisse moi devinée… séché, arnaqué quelqu'un , tu as insulté un élève, ah, non tu as essayé de draguer une fille. » ma derniere hypothèse semblait juste puis qu’une grimace apparus alors sur son visage.
    « Laisse moi tranquille, je n’ai pas envie de t’entendre aujourd’hui. » répondit-il sur un ton sec.
    « N’ai pas peur, je n’ai pas vraiment envie de bavarder avec un mec comme toi... À plus, la tomate» dis je en faisant un signe de la main, pour son surnom en fait ses cheveux son rouge, et ça ma tous de suite fais pensé à une tomate ^^.
    Oh, non….y’à plus de dessert, je suis restée comme une idiote devant mon plateau, soupirant un bon coup j’ai regardée autour de moi, c’est trop, trop, trop calme, j’en est marre de cette ambiance, j’ai l’impression que je revis chaques jours comme celui d’avant, qu’en es que sa changera, je repartit vers ma classe, 2 heures de science et bien super, après quelque minute je finis par m’endormir.
    « Mademoiselle Lucile… Lucile! »
    « Quoi » criais-je en levant mon siège, je me rendis soudain compte que j’étais en classe, la tête du prof, je le menace avec ma chaise, je la repose à toute vitesse en camouflent un peut de rougeur qui venais d’apparaître sur mes joues, je sais déjà la phrase qui va dire, bureau de la principale, hurlait il à ma figure, ça va je suis pas sourde, je sors de la classe.
    Moi : « S’lut »
    Le dirlo : « Lucile » il soupira longuement : « Qu’as tu encore fais ? »
    Moi : « En fait, j'avais un peut sommeil, et je me suis comment dire, un peut…assoupie... Désolée »
    Le dirlo : « tu es collé aujourd’hui après les cours, tu sais bien que c’est la vingtième foie que tu es collé, fais un peut plus attention »
    Moi : « D'ac, allez à plus »
    Je sais, je sais, mais franchement mon dirlo il me comprend mieux que personne, j’ai deux supposition : Soit, il pense que je suis un cas désespéré. Soit c’est le résultat de toutes les journées passée avec lui, il faut bien avoué qu’il m'a aidée dans de nombreuses situations, c’est même lui qui ma aidée à porté les affaires de mon déménagement alors que mon père était dans un bar, je dois avoué qu'il est un peu dur au première abords mais en fait il est sympa.

    et bien deuxième chap, qu'es que vous en pensez, mettez des com's on mort pas, ou peut être que si! bref à bientôt et n'oublier pas de laissé vos avie


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  • Je me réveillai en sursaut à cause d’un cauchemar. Rien de très important ! Je regarda l’heure sur mon radio réveille : 6h30. J’avais encore le temps avant de partir en cours. Je m’appelle Wendy Amamiya.  Il y a seulement quelque semaine que je suis arrivée dans ce collège de Denver, le collège Weterfinld. J’ai trouvée des amies assez sympas, mais j’ai un peu de mal à aller vers les autres, je suis assez timide quand je ne connais personne. Je m’assis sur mon lit le temps de me réveiller correctement. A 7h mon réveille sonna, et je descendis les escaliers pour prendre mon petite déjeuner. Je m’habillai et finit de me préparer, il était 8h. Le soleil était déjà bien voyant, et il commençait à faire chaud, alors je décidai de partir en vélo jusqu’au collège.

    Chapitre 4: Wendy, l'accusée à tord

    J’arriva au collège et vit Zack, ce garçon qui drague tout le monde et qui n’arrête pas de m’embêter. Je me dépêchai de rentrer avant qu’il ne me voit. Je vis qu’il restait quelque minutes avant la sonnerie, alors je décidai d’aller dans la salle de musique, ma salle préférée. Je vis une guitare posé sur une chaise, et, ne voyant personne d’autre dans la salle, je posa mon télephone sur le piano juste à côté et je ne pus m’empêcher de jouer. Je chantais en même temps une berceuse que ma maman m’a apprise lorsque j’étais petite.  J’entendis un bruit derrière moi, je me retourna et vit un garçon qui m’avait l’air sympathique. Je me suis soudain sentie honteuse qu’il m’ait entendu chanter et jouer de la guitare, alors je posa celle-ci et partit en courant, en l’entendant me crier « Ne pars pas ! Attends ! ». Je m’arrêta de courir au bout du couloir, tout essouflée, le cœur battant à 100 à l’heure. La sonnerie retentit et je parti en cours.

    ***

    La sonnerie de midi se fit entendre, les cours de ce matin n’était pas très amusant. Je me dirige vers la cantine. En chemin, je voit une fille frapper Zack. Le pauvre, il s’en prend plein la tête aujourd'hui. Cette fille part comme si de rien était, bousculant une autre fille. Zack saignait du nez, alors je m’approcha de lui.

    Moi : Tu vas bien ?

    Il n’eut pas le temps de me répondre qu’un surveillant arriva.

    Surveillant : Que s’est-il passé ici ?

    Zack, ne pouvant pas me supporter, me lança un regard sadique.

    Zack : C’est elle m’sieur ! Elle s’est mise à me frapper sans aucune raison !

    J’étais choquée, je ne savais pas quoi dire.

    Moi : Mais… Mais c’est faux !

    Surveillant : Mlle Amamiya ? C’est étrange… Je ne pensais pas ça de vous. Quoi qu’il en soit, dans le bureau du directeur, immédiatement, et sans dire un mot !

    Je regardai cette fille qui avait tout vu elle aussi, la suppliant de dire quelque chose, mais elle n’en fit rien, et regardait Zack avec dégout.

    Directeur : Et bien, que se passe-t-il Mlle Amamiya ? C’est bien la première fois que je vous trouve dans mon bureau.

    Surveillant : Elle a frappé Zack, Mr le directeur.

    Directeur : Vraiment ? Mais qu’est ce qu’il vous fait pour que tout le monde le frappe ?

    Moi : Mr le directeur, ce n’est pas moi qui l’ai frappée, c’est cette fille qui est partie juste avant que le surveillant n’arrive !

    Directeur : Je suis désolé, mais les preuves sont contre vous. Je vous donne seulement 1h de colle, plutôt que de vous renvoyer temporairement. Je vous accorde le bénéfice du doute. Il y a déjà pas mal d’heure de colle pour une matinée.

     

    Je sortit du bureau dépité, et alla manger, même si je n’avais plus vraiment faim.

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    Voila c'est mon premier chapitre ^^ J'ai hâte de savoir ce que vous en pensez :P #Kanon 


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  • Le réveille sonne je lui donne un coup.
    -"La ferme !!"
    Salut moi c'est Eri j'ai 13ans. Je suis gentille et renfermée mais je suis quand même une vrai bombe énergique qui aime l'ambiance mais je montre jamais quand je suis triste. En ce moment, je me prépare pour aller au collège.
    Je pris mon sac et alla en cours, entra dans ma classe. Le prof' etait pas encore arriver et l'ambiance était paisible ça me donne la nausée. Je suis alors grimper sur le bureau du prof et j'ai crié.
    -"Aller tout le monde c'est la fête !! "
    Je me mis à chanter. Tout le monde me fixait.
    Le prof entra et me vit sur son bureau.
    Prof: Mlle Eri dehors !!
    Je ne l'entendit pas et je continue de chanter.
    prof: ERI !!!
    Cette fois je m'arreta et devin rouge
    -.....ou...oui ? ^^"
    -DEHORS !!!
    -Bon.....j'ai pas le choix ...
    La sonnerie nous prévenant de la pause déjeuner retentis alors que je m'apprêter à sortir de la classe
    -LA CHANCE !! À toute m'sieur !
    -elle est pas croyable --"
    Je sortis de la classe me dirigeant vers la cantine. Je me suis dit a quoi bon être contente quand on a pas d'amies. Personne sur qui compter je lève la tête et je vis toute la scène. Celle où une fille à frapper Zack et celle ou une autre innocente fut accusée a tort. J'étais allée le voir.
    -Hé ! Le moustique !
    Oui je l'appelle comme ça car il est vraiment petit de taille.
    Zack: Tu veux quo La tour eiffel ?!!
    Moi: Je t'ai déjà dit de ne pas m'appeler comme ça moustique !!
    Je serre mes poings, énervée. mais je voulais pas le frapper il en avait déjà eu ! Mais il a quand même accuser cette fille a tord.
    Zack: Je t'appelle comme je veux !!
    Je vis des gâteaux, alors, je me mis a l'ignorer et me dirigeai vers les gâteaux.
    Zack:je te parle !!
    moi: Je parle pas aux moustique !!
    Zack s'en alla, énervé. Et moi ben , j'ai déjeuné et je suis monter dans la classe. J'ai ouvert la porte le prof m'a vue.
     
    le prof : DEHORS VA VOIR LE DIRECTEUR !!
    Moi: Ok ok.
    Je quittai la classe et me dirigeai vers le bureau du directeur.
    directeur: Mlle ? encore vous ?
    Moi: Eh...oui ^^"
    directeur : laisse moi deviner tu as voulus mettre de l'ambiance ?
    moi: Oh....vous êtes doué Mr. Une autre devinette que v....
     
    Je fus interrompue par le directeur.
    Directeur: 1h de colle Mlle !!
    Moi: Hein ?!!! Mais, mais ... 
    Directeur: pas de mais qui tienne. 1h c'est une 1h.
    Moi: 1h30 ?
    Directeur: Nan !
    Moi: 1h15 ?
    Directeur: Non c'est non !
    Moi: Bon, OK mais merci comme pour l'heure de colle.^^
      voila c'etait mon 1er chapitre j'espere qu'il vous a plut ^^
    #harmonie

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  • Je sens la chaleur du soleil sur mon visage. J’ouvre les yeux lentement. Je savoure la chaleur sur ma joue. Puis, je dirige mon regard vers mon réveil. 6h. Bon, j’ai encore pas mal de temps devant moi. Mais… Attendez, à 6h, le soleil est pas encore levé, je me trompe ? oh non ! Je regarde encore une fois : 8h. Je jette ma couette a travers la chambre et me dépêche de me levée. Tout en m’habillant je crie.

    Moi : Mamaaaaaaaan ! J’ai loupé le bus ! M’maaaaaan !

    Je m’appelle Meg Cavanaugh. Je m’était habillée dans mon style lolita quotidien, et je pris ma peluche que j’emmenais tout le jours ainsi que mon sac de cours. Ma mère était prête et m’emmena, j’arrive donc quelque minutes avant la sonnerie. Je me dirige vers ma salle et passe devant la salle de musique au même moment où une fille en sort en courant. Je me demande bien pourquoi. Enfin bref, sur mon passage les gens me regarde bizarrement : ils n’aiment pas mon look et me prennent pour une gamine avec ma peluche dans les bras. Je rentre dans ma salle, le prof n’est pas là. Un des amis de Zack (le garçon le plus dragueur du collège), se nommant Ethan, s’approche de moi et me prends ma peluche.

    Moi : Rend la moi Ethan ! Rends moi ça immédiatement !

    Ethan : Et pourquoi je te la rendrai ? T’as quel âge pour jouer a la poupée ?!

    Une fille derrière moi : Rends lui Ethan, tu te prends pour qui ?!

    Sans réfléchir, je saute sur Ethan, qui chute par surprise. Je me retrouve assise sur lui, et, de colère, je lui donne des coups sur son torse pour qu’il lâche ma peluche.  Des larmes de rage apparaissent dans mes yeux. La fille qui avait parlé me tire en arrière d’un coup, et je me retrouve assise par terre à 1 mètre d’Ethan. Je compris pourquoi quand j’entendis la porte de la salle s’ouvrir, et que je vis le prof entrer. Il nous demanda de retourner à nos places sans plus se poser de question. De colère, Ethan déchira l’oreille de ma peluche.  Je lui arrache des mains et m’en vais en courant, en pleurant, sous les protestations du professeur. Je me réfugie dans mon endroit préféré de l’école : le toit.

    Chapitre 6: Style lolita et méchanceté

    Le temps passe et je ne suis pas descendue. D’un coup, j’entends mon nom retentir dans un haut-parleur.

    « Meg Cavanaugh dans le bureau du directeur »

     

    Je soupir et descends de ma cachète. C’est ainsi que je me suis retrouvée collée. Motif ? « Sèche les cours » . Et cet imbécile d’Ethan qui n’a rien eu alors que tout ça est de sa faute. Je serre ma peluche contre moi en sortant de ce bureau ou tout ce qu’il se passe est mauvais.

     

    Voilou, mon chapitre à moi :3 J'ai pas mis la discussion entre Meg et le directeur, parce que tout le monde l'a fait alors j'ai changé un peu :p #Aira


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  • Chèr journal, bon commençons par le début, je m’appelle Ever. Un nom étrange je sais…Mais j’en suis fière. Ma mère qui a du…

    Chapitre 7: Solitude


    Mon stylo glisse entre mais doigts un instant. Ma mère….Une vague infini de tristesse me submerge d’un coup. Des millions de poignard viennent se loger dans mon cœur déjà tellement meurtrit. J’aurais hurlé si j’en avais eus la force…Mais non je suis faible et j’ai mal…. Une larme roule sur ma joue que je sens brulante et un petit cliquetis métallique vient me sortir de mes sombres pensées.  Je sursaute. Et comme des aimants je sens des yeux ronds se braquer sur moi. La peur et l’apréantion vinrent me remuer le ventre faisant trembler tous mes membres. Je passe soudainement de la paralysie à l’hyper activité. En quelles que secondes j’essuie mes joues et cache ma tête entre mes bras dans un gémissement plaintif. Mon cœur bat si vite, si fort…Pour quoi s’emballa-t-il toujours autant ? Je me déteste…. Je mis un dizaines de minutes à me calmer.
    Je relève précautionneusement la tête, en étant aux aguets, guettant le moindre regard qui se poserait sur moi. Rien. Enfin je respire ! Avec toutes les précautions du monde je range le petit carnet rose très pale dans mon sac (je n’avais plus la force d’écrire dedans) non sans avoir savouré une dernière caresse sur son cuire doux. Le dernier souvenir que j’ai de ma mère. Je fais tous pour ne pas pleurer à nouveaux. Je me penche. D’une main blanche et tremblante je ramasse le petit stylo et le fourre dans ma trousse. Je m’égare encore. Eg je pense à des choses stupides… Parfois je rêve. Je rêve d’une chose tellement absurde. Une chose tellement impossible…. Je m’imagine devant une foule en délire, sur une scène, les projecteurs braqués sur moi. Et je chante, une de mes compositions. Et ça ne me terrifie pas, non je suis mieux que jamais… Je rêve aussi souvent d’un monde où je n’aurais pas peur des autres… Qu’avait dit ma psy déjà ? Ah oui…C’est à cause de mes sauts entre famille d’accueil… D’après elle je m’étais forgé une carapace, mais je sais que ce n’est pas le cas… Même les carapaces peuvent être pénétrée, moi je n’ai jamais était à l’aise avec personne, jamais… Mes sentiments se résume à de la peur et de l’espoir stupide. C’est vrai que je ai pas mal de chance, mes nouveaux parents m’ont adoptés et ils sont très gentilles, doux et patients. Même si jamais je ne les ai laissé m’enlacer et que je ne leur parle pratiquement jamais… Je les aime beaucoup mais je n’arrive pas à calmer mon cœur. J’ai comme l’impression qu’une malédiction me suit…. Et puis grâce à eux j’ai réussis à remonter mes notes désastreuses et maintenant je suis une des meilleures ! J’en suis assez fière d’ailleur. Et puis, ils ont une immense maison, à côté de la  mer, moi qui aime tant nager et aussi j’adore planter mes pieds dans le sable mouillé, les chevilles dans l’eau alors que la plage est déserte, que le soleil se couche et qu’une légère brise me caresse. Puis je chante ma douleur à la mer, je me sens vivante et libre quand je fais ça….  Ils ont aussi des chevaux et une écurie, j’ai le droit de monter quand je veux…C’est génial, vraiment…J’ai une grande chambre rien que à moi…Ils m’ont dit que si je veux quoi que ce soit il suffit que je le dise…Ils m’ont même donné un chat car ils ont vu que j’aime beaucoup ces animaux… Et j’ai commencé a avoir des cours privié de flute il y a trois semaine.  La sonnerie me sortit de mes pensées. Je quitte la salle de perme en regardant mes bottes noires comme d’habitude. Et je replonge de nouveau dans des débats intérieurs. Je n’ai pas d’amies. C’est vrai, il y a bien un groupe de filles qui me laisse rester avec elles mais bon… Je soupire en pensant à ce qui m’attend. Une heure de retenue. Ma première. Ce n’est même pas ma faute… Des petites pestes on appuyée sur l’alarme incendie et on dit que c’était moi et comme une d’entre elle est la fille du directeur et que je n’ai pas osé protester et ben voilà… Ce groupe de filles n’arrête pas de me créer des ennuis pour rien… Ce n’est pas si grave mes parents ne m’en ont pas voulus(je ne leur ai pas expliqué ce qui c’est réellement passé, pour eux ce n’est qu’une manifestation de ma maladresse…). D’un coup je percute quelque chose et je suis projecté en arrière. Je me sens tomber, tomber. Ma tête crée un bruit sourd quand elle se cogne contre le sol. Ma tête me lance beaucoup, trop. J’ouvre les yeux que j’avais plissés.  Devant moi un garçon ! Mon cœur, il me lâche, je le sens. Le sang pulse dans ma tête à un rythme effréné. Tout mon corps tremble. Mon ventre et ma gorge se nouent douloureusement. Je suis pétrifiée, horrifiée, paralysée, meurtrie. Rien n’aurais peut décrire ma terreur. Un cauchemar. Un enfer. Un garçon sur moi…Surtout quand je reconnu ses yeux. Vert. Pronfonds. Émeraudes. C’est lui. Le garçon dont je ne connais pas le nom, celui dont j’ignore tout. Et pourtant dès que je rêvasse mes yeux se posent sur lui, je pense tout le temps à lui. Dès que je le vois tout mon corps se remplis d’une chaleur étrange et quelque chose d’agréable se passe dans mon ventre…Je ne comprends pas vraiment ce qui se passe en moi… Ses mains au paravent de chaque côté de mon buste suivent lentement les courbe de mon corps. Je brûle. Je m’enflamme. Je me consume. Ses mains sur moi sont tellement chaudes et encore je prierais pour que la mince couche de tissue qui nous sépare disparaisse. Voilà comment aurais réagis une personne « normale » (après tout il est magnifique avec ses yeux…Et ses cheveux en bataille d'une couleur brun rouge surprenante, avec sa grande taille et sa musculature, sa peau halée, son air mystérieux et inaxsésible, sans oublier son visage, presque parfait en tout cas pour moi ).

    Chapitre 7: Solitude

     

    Autrement dit pas moi. Je rougis sévèrement et je m’étouffe  avec ma timidité. Je ne pouvais même plus battre des paupières ou fermer ma bouche ni même respirer. La dernière fois que quelqu’un avait était si proche de moi c’était quand…. Quand mon père biologique avait trop bue. Il a commencé à me caresser partout en m’appelant Marion. Le nom de ma mère. Je pleurais, je hurlais il ne m’écoutait pas. Puis d’un coup il fut secoué par un spasme et il partit à reculons comme si quel qu’un l’avait frappé en regardant terrorisé ses propres mains. Le lendemain matin on m’apprit qu’il s’était suicidé…J’avais quatre ans… Et depuis il y a un truc qui va pas avec moi, j’avais perdu ma dernière part de normalité. Je n’en ai jamais parlé à personne… J’éclatais en sanglot alors que le garçon se relevé un sourire amusé mais pas malsain sur le visage. Je suis remonté à bloc par la panique, et donc dès qu’il s’écarte et qu’il me cède le passage  je décampe. Malheureusement mon sac était ouvert et dans ma précipitation je ne l’avais pas remarqué. Un bruit me fit me retourner. Je le vus entrain de ramasser la pochette où j’avais rangé toutes les chansons que je n’avais jamais écrites. Ses feuilles où j’avais mis à nues tous mes sentiments dont ceux que j’avais pour lui. Je meurs….

    Je sais il est très long et sructuré différament que ceux des autres mais bon c'est mon chapitre^^


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